IDK est une abréviation dont la signification ne saute pas aux yeux de prime abord.
IDK est un sigle formé des initiales des mots de la phrase en langue anglaise « I Don’t Know » qui se traduit en français par « je ne sais pas ». Elle est souvent utilisé dans les conversations sur internet, car très facile à écrire pour cette phrase usuelle.
Ce sont surtout les ados qui l’utilisent et il n’est pas étonnant que cela soit l’abréviation anglaise qui ait été retenue plus qu’un improbable JNSP, les initiales de Je Ne Sais Pas.
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IDK, un terme plus séduisant que JNSP ?
IDK apparait en effet plus sexy et plus moderne que JNSP, ce dernier sonnant comme un nom moribond qui aurait été créé dans les années 1970.
Dans tous les cas, lors d’une conversation électronique, il est préférable que les interlocuteurs répondent quelque chose, plutôt que de ne rien dire. Être muet derrière son écran ou son téléphone en pleine conversation instantanée n’est pas une bonne attitude. Car si on garde le silence après une question, la personne avec laquelle on discute se demandera s’il n’y a pas un problème de connexion qui peut expliquer l’absence de retour.
C’est aussi devenu une habitude pratique que d’utiliser IDK avant de répondre à une question complexe : « Je ne sais pas… Peut-être… ». Cela permet de réfléchir quelques secondes de plus avant de se prononcer. Ce terme permet de meubler la discussion sans donner l’impression de rester sans voix. IDK peut alors devenir une expression courante pour énoncer d’autres éventualités possibles dans une situation quelconque.
Dans un tout autre genre, il peut y avoir aussi plusieurs interprétations. Par exemple, le « kit de développement industriel » dans le domaine de la fabrication industrielle, l’extension d’un fichier en informatique. Le code IATA de l’aéroport Indulkana en Australie est également IDK.
Merci, maintenant IK 🙂